« Villes et régions circulaires » : intégrez le groupe pilote en faveur de l’économie circulaire

« Villes et régions circulaires » : intégrez le groupe pilote en faveur de l’économie circulaire

Publié par Gaëtan Claeys le mercredi 6 avril 2022

Développement régional et urbain Environnement, climat et santé

« Villes et régions circulaires » : intégrez le groupe pilote en faveur de l’économie circulaire

L’initiative « Villes et régions circulaires » vient de lancer un premier appel à expression d’intérêt afin de constituer un groupe de collectivités régionales et locales pilotes. L’appel est ouvert jusqu’au 29 avril, à toutes les municipalités, régions ou groupements territoriaux.

Lancée par la Commission européenne dans le cadre du plan d’action en faveur de l’économie circulaire, « Villes et régions circulaires » (CCRI) vise à soutenir et accompagner la transition verte en Europe au niveau local et régional, mais aussi à accroître les synergies entre les projets et les initiatives, à diffuser les connaissances et à promouvoir les meilleures pratiques. La CCRI vise plus spécifiquement à renforcer les compétences dans le domaine de l’économie circulaire, à stimuler la croissance et l’innovation, via la collaboration, le partage des connaissances et de bonnes pratiques entre les villes et les régions de l’UE.

L’objectif est de sélectionner un groupe de villes, de régions ou de clusters territoriaux, ayant un fort potentiel de développement dans le domaine de l’économie circulaire, pour constituer un groupe pilote. Il est également possible de rejoindre cette initiative en tant qu’observateur, « Fellows », pour bénéficier des connaissances et bonnes pratiques du réseau, sans recevoir d’aide financière ou logistique. Les collectivités sélectionnées en tant que pilotes bénéficieront d’un soutien spécifique pour développer leurs solutions systémiques circulaires, ainsi que des conseils du bureau de coordination et du soutien de la CCRI pour la mise en œuvre de leurs plans d’action et d’investissement.

Il existe de nombreuses raisons de rejoindre la CCRI, notamment pour bénéficier des conseil ciblés et d’une méthodologie de la part d’experts en économie circulaire, d’accéder à une mine d’informations pertinentes, de renforcer ses capacités au travers de groupes thématiques. Retrouvez davantage d’information sur cet appel ainsi qu’un glossaire sur la page dédiée. Le formulaire de candidature est disponible en français, néanmoins celles-ci doivent être soumises en anglais.

A cette occasion, un webinaire d’information est organisé par la CCRI le 20 avril prochain, de 10h00 à 11h00. Retrouvez plus d’informations sur cet évènement ici, et inscrivez-vous sur cette page.


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Conférence sur l’Avenir de l’Europe : Strasbourg se mobilise

Publié par Gaëtan Claeys le lundi 14 mars 2022

Développement régional et urbain Général

Conférence sur l’Avenir de l’Europe : Strasbourg se mobilise

Alors que s’achève la Conférence sur l’avenir de l’Europe, lancée le 9 mai dernier à Strasbourg, siège du Parlement européen, les citoyens et citoyennes de Strasbourg et de l’Eurométropole ont souhaité adresser un « Appel de Strasbourg » aux institutions de l’Union européenne.

L’appel de Strasbourg, c’est :

  • un appel pour réaffirmer le rôle et la place de Strasbourg comme capitale européenne des droits humains et siège des institutions,
  • un appel en faveur d’une Europe libre unie, plus verte et plus démocratique.

Ce texte est le fruit d’un travail mené au sein de l’Agora Strasbourg Capitale européenne, instance participative et consultative qui fédère depuis 2020 l’ensemble des acteurs et actrices du territoire autour des enjeux liés au statut européen de Strasbourg.

Cet Appel est aujourd’hui proposé à la signature de toutes celles et de tous ceux qui souhaitent se mobiliser pour l’avenir de l’Europe, à l’heure où la paix sur notre continent est remise en cause par l’attaque militaire de la Russie. Plus que jamais, le message de Strasbourg l’Européenne n’aura eu autant de nécessité et d’acuité.

Afin de diffuser et signer l’Appel de Strasbourg, rendez-vous ici : https://www.strasbourg.eu/appel-de-strasbourg

Article proposé par l’Eurométropole de Strasbourg.


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PFUE – Conférence Villes intelligentes inclusives

Publié par Gaëtan Claeys le mercredi 26 janvier 2022

Développement régional et urbain Général Recherche, innovation, enseignement supérieur

PFUE – Conférence Villes intelligentes inclusives

En contribution au programme de l’ONU-Habitat sur les  » villes intelligentes inclusives  » une conférence de haut niveau, organisée par la coordination de la Fédération nationale des agences d’urbanisme (FNAU), la Région Grand Est et le ministère de l’Europe et des Affaires étrangères, se déroulera en ligne le mercredi 2 février 2022.

Labellisée dans le cadre de la présidence française de l’Union européenne, cette conférence s’inscrit dans l’ambition de faire du numérique un levier fondamental d’inclusion et de durabilité. Dans cette perspective, celle-ci vise à permettre un dialogue renforcé entre les approches locales, nationales, européennes et internationales pour une transition numérique inclusive.

Cette conférence réunira des acteurs européens et internationaux pour débattre et échanger sur les premières propositions issues des groupes de travail organisés en 2021 dans le cadre de la contribution française à l’initiative UN Habitat.

Retrouvez le programme et inscrivez-vous sur le site de l’événement.


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A Troyes, le pôle européen du chanvre

Publié par Gaëtan Claeys le jeudi 20 janvier 2022

Agriculture, affaires sociales, emploi Développement régional et urbain Général

A Troyes, le pôle européen du chanvre

Le « Pôle européen du chanvre », à Troyes, a pour ambition de faire du territoire du Grand Est la référence européenne dans le domaine de l’économie du chanvre. Pour cela, il est impératif de développer de nouveaux marchés à forte valeur-ajoutée et de ramener les transformations industrielles du chanvre sur le territoire français, et plus particulièrement en Grand Est.

Le pôle vise à créer une organisation innovante qui permette de fédérer et faire vivre l’écosystème chanvre, sur le territoire et au-delà, en faisant le pari de la coopération entre les acteurs des différentes filières qui le composent, de l’amont agricole à l’aval industriel.

La structure sera créée courant 2022 et a déjà mobilisé plus de 250 parties prenantes (agriculteurs, entreprises des différents marchés d’application, centres de R&D, universités, collectivités, organismes de promotion…) autour de ses travaux de co-construction d’un écosystème coopératif territorial autour du chanvre.

Ce projet est majoritairement financé par des fonds européens, dans le cadre des « Groupes opérationnels » du « Partenariat européen pour l’innovation agricole » (PEI-AGRI) du FEADER (664 000 €), et soutenu par la Région Grand Est et Troyes Champagne Métropole.

Pour plus d’informations :

Article proposé par Troyes Champagne Métropole


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MIE numérique : 258M€ pour les 11 premiers appels à projets

Publié par Virginie Manfroni le mardi 18 janvier 2022

Développement régional et urbain Économie, industrie, énergie Recherche, innovation, enseignement supérieur

MIE numérique : 258M€ pour les 11 premiers appels à projets

La Commission européenne a lancé, le 12 janvier 2022, les premiers appels à proposition du volet numérique du « Mécanisme pour l’interconnexion en Europe » (MIE), qui vont participer à améliorer les infrastructures de connectivité numérique de l’Union européenne.

 

Adopté en juillet 2021, le Mécanisme pour l’interconnexion en Europe 2021-2027 (connu également sous son acronyme anglais CEF – « Connecting Europe Facility ») poursuit sa mise en œuvre et le déploiement de ses différents piliers. Doté au total de 33,71 milliards d’euros, la deuxième génération de ce programme lancé initialement en 2014, vise à financer la construction, le développement et la modernisation d’infrastructures durables et hautement performantes dans les domaines des transports, de l’énergie et du numérique. Le MIE contribue ainsi à la double transition numérique et écologique de l’Europe, avec un budget réparti autour de trois piliers :

Dans le domaine de la connectivité numérique, le champ d’application a été élargi par rapport au programme précédent pour tenir compte de la connectivité numérique en tant que facteur décisif pour réduire les fractures économiques, sociales et territoriales : en effet, la transformation numérique de l’économie et de la société est tributaire d’un accès universel à des réseaux à très haute capacité. En encourageant les investissements publics et privés, le volet numérique du MIE vise ainsi à soutenir plus particulièrement le développement de projets d’intérêt commun, tels que des réseaux numériques à très haute capacité, sûrs et sécurisés, des systèmes 5G, et la transformation numérique des réseaux de transport et d’énergie. Ce volet participe aux objectifs d’une société européenne du gigabit à l’horizon 2025 et à l’engagement de l’Union européenne pour que toutes les zones habitées bénéficient d’une couverture 5G d’ici à 2030.

Pour ce volet numérique, la Commission européenne a adopté, le 16 décembre 2021, un premier programme de travail pluriannuel, pour la période 2021-2025. Celui-ci prévoit de financer des actions améliorant les infrastructures de connectivité numérique de l’Europe et permettant aux Européens de bénéficier de connexions plus rapides pour se former davantage en ligne, accéder à des services numériques plus efficaces et élargir leurs possibilités de collaboration à distance. Sur une première période de 3 ans (2021-2023), 1 Md€ est alloué à des actions répondant à trois priorités :

  • Le déploiement d’infrastructures 5G, en particulier la couverture 5G le long des corridors transfrontaliers,
  • Le déploiement de nouveaux « réseaux dorsaux » (ce qui correspond à la partie principale d’un réseau d’infrastructures) ou la modernisation de ces réseaux : il s’agira d’améliorer les performances des réseaux de communication à plusieurs niveaux (au sein des États membres, mais également entre ceux-ci, et enfin entre l’UE et les pays tiers),
  • La mise en œuvre d’infrastructures de connectivité numérique en lien avec des projets transfrontaliers dans les domaines du transport ou de l’énergie et/ou le soutien aux plateformes numériques opérationnelles directement associées aux infrastructures de transport ou d’énergie.

Le programme de travail pluriannuel va se déployer au travers d’appels à projets, dont les premiers viennent d’être lancés. Dotés d’une enveloppe globale de 258 M€, les onze appels à projets récemment ouverts soutiendront plus précisément des actions qui :

  • Participeront à déployer la 5G sur les principaux axes de transport européens et à moderniser les réseaux dorsaux,
  • Développeront des infrastructures pour la connexion de services de cloud fédérés, des infrastructures dorsales pour les passerelles numériques mondiales (par ex. les câbles sous-marins),
  • Proposeront des actions préparatoires à la mise en place de plateformes numériques opérationnelles pour les infrastructures de transport et d’énergie dans l’ensemble de l’UE.

Ces onze appels, qui peuvent être consultés sur le portail « financements et appels d’offres » de la Commission européenne, se clôturent le 22 mars 2022.


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Europe numérique : 28 appels à projet, 2 milliards € d’investissement annoncés

Publié par Virginie Manfroni le jeudi 16 décembre 2021

Développement régional et urbain Économie, industrie, énergie Recherche, innovation, enseignement supérieur

Europe numérique : 28 appels à projet, 2 milliards € d’investissement annoncés

La Commission européenne a lancé, le 17 novembre 2021, les 28 premiers appels à projet (AAP) de « Europe numérique », le programme européen de soutien aux investissements dans les technologies clé du numérique et à leur déploiement dans l’industrie européenne. 

Adopté le 29 avril 2021, le programme « Europe numérique », également connu sous son nom anglais « Digital Europe », vise à déployer des technologies numériques au profit des citoyens, des entreprises et des administrations publiques, tout en améliorant les compétences numériques de pointe pour soutenir le progrès numérique dans l’Union européenne. Avec un budget global de 7,5 milliards d’euros pour la période 2021-2027, des projets dans cinq domaines essentiels pourront être soutenus par le programme : les supercalculateurs, l’intelligence artificielle (IA), la cybersécurité, les compétences numériques avancées et une utilisation plus large des technologies numériques dans l’économie et la société.

Le 10 novembre 2021, après plusieurs mois de discussion, la Commission européenne a adopté trois premiers programmes de travail pluriannuels auxquels elle dédie 1,98 milliards d’euros jusque fin 2022, et qui contribueront à atteindre les objectifs de la Décennie numérique de l’Europe.

Le programme de travail principal affecte 1,38 milliard € aux investissements dans les domaines de l’IA, de l’informatique en nuage et des espaces de données, des infrastructures de communication quantique, des compétences numériques avancées et de l’extension de l’utilisation des technologies numériques dans l’ensemble de l’économie et de la société. Les actions concrètes attendues permettront par exemple :

  • le déploiement d’espaces communs de données facilitant le partage de données au niveau européen pour les entreprises (notamment les PME et les start-ups) et pour le secteur public, au travers de solutions numériques garantissant la sécurité des flux de données,
  • la création d’installations d’essai et d’expérimentation pour les solutions fondées sur l’IA, pour booster l’utilisation d’une IA de confiance,
  • le déploiement d’infrastructures de communication quantiques sécurisées pour l’UE offrant une forte résilience face aux cyberattaques,
  • la mise en place de Masters dans le domaine des technologies numériques avancées essentielles pour renforcer les compétences numériques en Europe,
  • la création, l’exploitation et la maintenance évolutive et continue de services numériques favorisant l’interopérabilité transfrontière de solutions soutenant les administrations publiques (par l’identité numérique européenne).

Un deuxième programme de travail consacre 269 millions € au financement de projets dans le domaine de la cybersécurité. Outre le développement et une meilleure utilisation des connaissances et des compétences en matière de cybersécurité, ce programme de travail pluriannuel encourage le partage des bonnes pratiques et vise un déploiement à grande échelle de solutions de pointe en matière de cybersécurité dans l’ensemble de l’UE.

Enfin, le troisième programme prévoit, jusqu’à la fin 2023 cette fois, 329 millions € réservés à la mise en place du réseau de pôles européens d’innovation numérique, les EDIH (European Digital Innovation Hubs). Ces réseaux offriront un accès à l’expérimentation des technologies pour soutenir la transformation numérique des entreprises, notamment les PME et les start-ups, ainsi que le secteur public.

Cette adoption des premiers programmes de travail a permis à la Commission européenne de lancer dès le 17 novembre, les 28 premiers appels à projets au travers desquels des investissements et des actions vont pouvoir se concrétiser. Avec un budget de 415 M€, ces 28 appels visent à mettre sur le marché des solutions numériques au profit des citoyens, des administrations publiques et des entreprises et prévoient de soutenir des projets dans les thématiques suivantes : l’infrastructure « cloud-to-edge », les espaces de données, l’intelligence artificielle, l’infrastructure de communication quantique, le développement de formation pour l’acquisition de compétences numériques avancées, et enfin toutes les actions qui permettront de développer un internet plus sûr, notamment dans la lutte contre les abus sexuels pour les enfants mais aussi contre la désinformation.

Enfin, cette première vague d’AAP d’Europe numérique inclut le premier appel à projets consacré au déploiement des EDIH. Attendu depuis février 2021, notamment par les acteurs du territoire du Grand Est qui avaient commencé à travailler à la mise en forme d’un EDIH Grand Est dès 2020, cet appel devrait permettre la candidature de dix-sept projets français, d’ores et déjà présélectionnés par le gouvernement français. En effet, la Commission européenne avait envisagé la mise en place d’un réseau interrégional de EDIH selon un processus en deux temps : d’une part une première présélection nationale par les États membres par un appel à manifestation d’intérêt (AMI EDIH qui a eu lieu du 22 juillet au 30 septembre 2020), d’autre part une sélection européenne via un appel à projet ouvert aux seuls candidats présélectionnés. Les EDIH retenus signeront un contrat avec la Commission européenne pour 2021-2023 et pourraient éventuellement être prolongés pour 2024-2027, avec des cofinancements annuels de l’ordre de 500k€ à 1M€ par EDIH et limités à 50% des dépenses éligibles.

Outil important contribuant à répondre notamment aux ambitions du Business Act Grand Est #2, l’EDIH Grand Est participera à accélérer la transformation numérique des industries du territoire en leur facilitant l’accès à trois technologies de pointe : IA, Cybersécurité et Calcul Haute Performance (HPC). Il se positionnera comme un facilitateur de la mise en relation et un accélérateur de business au service de l’économie du territoire. Il permettra enfin de constituer un réseau européen de EDIH facilitant des mises en relation avec des entreprises d’autres régions françaises et européennes partenaires.

Ces 28 appels, ouverts aux entreprises, organisations et services publics des États membres de l’UE, ainsi qu’aux entités d’autres pays associés au programme (comme la Norvège, l’Islande et le Liechtenstein), se clôtureront le 22 février 2022. L’ouverture d’une seconde vague d’AAP est annoncée pour début 2022.


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Ouverture des candidatures pour le Prix de la région européenne entreprenante 2023

Publié par Adipso le vendredi 10 décembre 2021

Développement régional et urbain

Ouverture des candidatures pour le Prix de la région européenne entreprenante 2023

Le Prix de la région européenne entreprenante vise à récompenser les collectivités territoriales développant des stratégies entrepreneuriales tournées vers l’avenir.

L’édition de cette année, qui a pour thème « Entrepreneuriat et communautés résilientes », vise à mettre en lumière le rôle des acteurs locaux et régionaux dans la construction de l’économie d’après pandémie, l’adaptation aux enjeux d’une mondialisation accrue, la numérisation, la transition vers une économie circulaire à faible émission de carbone ou encore la transformation du travail.

Un jury, composé de membres du Comité des Régions, de représentants des institutions européennes, des partenaires sociaux et d’associations territoriales, sélectionnera trois collectivités locales qui mettent en œuvre des stratégies innovantes de dynamisation de leur économie.

Ce prix donne une visibilité européenne à ces territoires et accès à un réseau reconnu en matière d’innovation entrepreneuriale, en vue d’échanger les bonnes pratiques et de prendre part à des projets européens.

Toutes les collectivités de l’UE dotés de compétences politiques dans la mise en œuvre d’une stratégie entrepreneuriale – régions, villes, groupements européens de coopération territoriale (GETC) ou Eurorégions – peuvent candidater au prix REE.

Les candidatures doivent être soumises le 29 mars 2022 au plus tard.

Retrouvez plus de détail sur la procédure de candidature au Prix REE sur la page dédiée sur le site du CoR ainsi que le guide de candidature.


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Les jeunes aussi ont leur voix qui compte en Europe !

Publié par Gaëtan Claeys le jeudi 14 octobre 2021

Développement régional et urbain

Les jeunes aussi ont leur voix qui compte en Europe !

Les 8 et 9 octobre derniers, près de 3 500 jeunes de toute l’Union européenne se sont retrouvés au sein du Parlement européen à Strasbourg pour débattre de l’avenir de l’Europe lors du European Youth Event (EYE) – aussi appelé Rencontre des Jeunes Européens – 2021 dont le slogan était « L’avenir est à nous ». Ils ont ainsi pu débattre et faire entendre leur voix auprès des parlementaires européens et institutions sur la démocratie, l’environnement, la justice sociale, la santé ou encore la transition numérique. Parmi eux, plus de 200 jeunes de l’Eurométropole de Strasbourg ont participé aux débats au sein du Parlement européen.

En parallèle des réflexions et débats au Parlement européen, tous les jeunes de 16 à 30 ans étaient invités à se retrouver au EYE Village, à proximité du Parlement européen. Des activités culturelles, sportives et des performances artistiques leur ont été proposées pour qu’ils se rencontrent et créent une émulation entre jeunes Européens. La Ville de Strasbourg était présente via des animations sur un stand au sein du EYE Village (photobooth, tirage au sort, visites guidées…) afin de faire rayonner Strasbourg auprès des jeunes.

Cet événement organisé par le Parlement européen tous les deux ans, en partenariat avec la Ville de Strasbourg, prend également place dans le cadre de la Conférence sur l’avenir de l’Europe en permettant le recueil de la voix des jeunes sur les enjeux européens. Depuis mai 2021, la plateforme YouthIdeas.eu collecte les idées des jeunes pour l’avenir de l’Europe, en collaboration avec des organisations de jeunesse, idées présentées aux membres de la Conférence pour alimenter les débats politiques en cours sur l’avenir de l’Europe.

Toutes les informations sur l’événement ici (site officiel) et ici (programme).

 

Article proposé par notre membre l’Eurométropole de Strasbourg


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EU City Facility (EUCF) : Accompagner les villes dans la mise en œuvre de leur plan d’action en faveur du climat

Publié par Adipso le mercredi 13 octobre 2021

Développement régional et urbain

EU City Facility (EUCF) : Accompagner les villes dans la mise en œuvre de leur plan d’action en faveur du climat

Contraintes financières et techniques, ressources humaines disponibles, connaissance des différentes opportunités de financements… La Facilité européenne pour les villes (EU City Facility ou EUCF), a pour objectif de soutenir les autorités locales et leurs groupements, dans le cadre de l’élaboration de plans d’investissement pour la mise en œuvre de leur stratégie en faveur de l’énergie durable et du climat. Cette initiative qui vise à apporter une aide technique et juridique afin de permettre une montée en compétence encourage fortement les candidatures groupées.

Elle permet de soutenir les travaux préparatoires tels que des études juridiques, des analyses de marché, des analyses économique, des analyses de risque, éléments sine qua non pour créer une stratégie d’investissement visant à mobiliser les différentes sources de financement disponibles (Fonds structurels et d’investissement européens,  , dispositif ELENA…) et à des services de conseil tel que le « Advisory Hub » de la Banque européenne d’investissement.

Suite au succès des précédents appels, un troisième appel à projets est ouvert jusqu’au 17 décembre 2021 et un quatrième appel à candidatures, prévu pour mai-juin 2022, viendra clore le programme.

Retrouvez plus d’informations sur le site dédié ou auprès du point de contact national français à l’adresse suivante :


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Plan de relance : feu vert au plan français

Publié par Gaëtan Claeys le jeudi 1 juillet 2021

Développement régional et urbain Général

Plan de relance : feu vert au plan français

Le 23 juin dernier, la Commission européenne a approuvé le « plan de relance et de résilience » présenté le 28 avril dernier par la France et qui bénéficiera de 39,4 milliards d’euros de financements européens, sous forme de subvention. Soit environ 40 % des 100 milliards d’euros d’investissements prévus au titre de « France Relance » dont les priorités sont la transition verte, la compétitivité et la cohésion sociale et territoriale. La France prévoit notamment de dédier 46 % de l’enveloppe européenne à la transition écologique et 21% à la transition numérique.

Cette décision intervient à l’issue de la procédure d’analyse et d’évaluation préalable visant à s’assurer que les plans de relance et de résilience nationaux respectent des principes encadrant la mise en œuvre du plan de relance européen (via la « Facilité pour la reprise et la résilience »), dont :

  • la cohérence avec les recommandations par pays du Semestre européen.
  • les objectifs thématiques dont la contribution aux transitions écologique et numérique : les plans nationaux devraient affecter au moins 37 % du budget au climat et à la biodiversité et 20 % aux mesures numériques.
  • les objectifs environnementaux de l’Union européenne conformément au principe de « ne pas causer de préjudice (environnemental) important ».

Par ailleurs, la Commission européenne doit également s’assurer de la bonne association des collectivités locales et régionales à la préparation et à la mise en œuvre de ces plans. Dans un contexte où de nombreux représentants de ces collectivités au niveau européen s’inquiètent du faible niveau d’association réelle à ces travaux et des conséquences à moyen terme que cela aura sur la mise en œuvre de l’ensemble des politiques européennes.

Cette décision de la Commission européenne pour être exécutoire doit encore faire l’objet, dans un délai de quatre semaines, d’une approbation formelle à la majorité qualifiée, par le Conseil. Une décision qui devrait intervenir le 13 juillet prochain, lors de la prochaine réunion du Conseil « Affaires économiques et financières ». Cela permettra alors à la France, et aux Etats membres concernés – la Commission européenne a d’ores et déjà validé 12 plans nationaux sur les 24 reçus – d’obtenir un premier versement correspondant à 13% de l’enveloppe qui leur a été allouée dans le cadre de leur plan de relance national.

Ainsi, l’approbation du plan français par le Conseil permettra le versement d’un préfinancement de 5 milliards d’euros. Le versement des tranches successives sera lié à une évaluation préalable par la Commission européenne du respect des objectifs définis avec l’Etat membre concerné, notamment la mise en place des réformes annoncées. La France prévoit de recevoir ses versements annuels de décembre 2021 à décembre 2026.


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